« J’aimerais vous remercier pour cet ouvrage. D’abord, j’en ai énormément apprécié la lecture. Au point que, vers la fin, lorsqu’il ne restait plus que quelques pages, je me suis dit : « oh non, il ne reste plus beaucoup de pages ». Votre livre a été une vraie bouffée d’air frais, une source de motivation et un moteur pour la rédaction de mon mémoire. Lorsque j’ai lu que vous aviez réussi à écrire un mémoire en 7 jours, je me suis dit que finalement, je pouvais bien réussir à écrire mon mémoire (pour les 2 mois et demi avant la date de rendu). Je vais suivre vos conseils, me fixer un délai archi serré. J’ai pendant un long moment procrastiné (pour les raisons que vous invoquiez – je me disais que la tâche était énorme, qu’il me resterait aussi suffisamment de temps par la suite. Bon, résultat, j’ai tardé, tardé et encore tardé. Mais, maintenant, j’ai retrouvé une bonne motivation. Et, la lecture de votre livre en a encore relevé le niveau (de motivation). Certes, je ne pense pas pouvoir écrire mon mémoire en 7 petits jours (étant très perfectionniste et un peu lente aussi au niveau de la rédaction – non pour les raisons que vous invoquiez dans votre ouvrage^^). Mais, je me sens motivée pour terminer dans les délais (avec comme compagnon un planning bien serré). Désolée, je rentre un peu trop dans les détails. Donc, j’en reviens à mes appréciations concernant votre ouvrage. J’ai été surprise d’apprendre que l’on pouvait aller aussi loin avec « notre » mémoire. Les actions que vous avez entreprises sont très ambitieuses. Jamais,ô grand jamais, nous avions, à l’université, eu vent de ce genre d’actions. J’ai été – je dois le dire, épatée. Et, pour finir, votre ouvrage est très clair, simple, agréable à lire et bien expliqué. J’ai beaucoup aimé le côté humouristique de l’ouvrage (musique baroque à l’époque pré-colombienne aux abords du lac de Genève) === (drôle). J’aimais bien tombé sur cette phrase qui, par la répétition, créée une certaine familiarité avec le sujet. Je me tiendrai au courant de la publication (éventuelle) de l’un de vos ouvrages. Ainsi ce termine ce message par un ultime remerciement. Ce n’est pas dans mon habitude d’envoyer un message à un auteur mais, là, puisque j’en avais apprécié la lecture et que, par cet ouvrage, vous m’aviez aidé, je tenais à vous remercier. Alors un GRAND MERCI » (Samira)
« J’écris actuellement un mémoire de master et c’est par hasard que je suis tombée sur ce livre. Beaucoup d’idées à reprendre pour notre travail au quotidien et même pour notre vie professionnelle future Je recommande! » (Malika – Amazon)
« Plein de bons conseils pour faire son mémoire. Trucs et astuces qui nous font gagner du temps! Je recommande pour les étudiants! » (Steph63 – Amazon)
« Rien que pour ce bouquin, je vais reprendre mes études! » (Thomas D.)
« Je peux témoigner. Méthode Beretti = 14 au mémoire, en un temps record » (Servane M.)
« Pourquoi vous n’étiez pas là plus tôt ?? Tant pis, j’ai hâte de le lire quand même! » (Elisabeth M.)
« Le livre que j’aurais aimé lire quand j’étais à Princeton » (presque témoignage de Tim Ferris)
Critique littéraire parue dans les Feuillets :
« Le guide méthodologique pour tous ceux qui n’achètent pas de guides méthodologiques », annonce fièrement la quatrième de couverture. Et il est vrai que Le mémoire de master vite fait bien fait est tout à fait ce genre d’ouvrages. Écrit par Nicolas Beretti et préfacé par Gauthier Picquart, fondateur de Rue du Commerce, ce livre arrive à point nommé pour tous les étudiants ayant à écrire`un mémoire (et qui, à cette période, sont nombreux à être sur les nerfs).
C’est rien moins qu’une nouvelle façon de travailler, de fond en comble, que propose l’auteur. Adieux feuilles éparses, heures studieuses, désorganisation : point par point et étape par étape, Nicolas Beretti livre son expérience pour que nous devenions plus efficients. La lecture de Le mémoire de master vite fait bien fait est rapide et efficace. On peut soit tout lire et se référer à chaque chapitre en cas de besoin, soit lire au fur et à mesure de l’avancée de son travail. Car cet ouvrage part de la recherche du sujet jusqu’à la publication d’un livre et l’insertion professionnelle. Tout ça, dans moins de 190 pages.
Bien sûr, dans ce genre de livres, certains conseils sembleront évidents pour quelques lecteurs alors que d’autres auraient besoin de plus d’accompagnement, mais on sent vraiment quelque chose d’autre dans cet ouvrage. Bien sûr tout ce qui est dit ne servira pas à tout le monde, car il peut y avoir de grandes différences entre certaines universités et écoles, mais tout l’essentiel est dans ces pages. Un regret, peut-être : je me suis demandé si ce guide avait pour cible les étudiants de master pro ou de recherche, notamment parce que l’auteur nous recommande de trouver un « sujet de niche à potentiel », mais finalement il me semble convenir à tous.
Le temps de votre lecture, vous n’aurez plus peur de vous attaquer à l’ogre-mémoire, qui se révèle être un allié. Pour le travail de fond qui suivra pendant des mois, Le mémoire vite fait bien fait pourra continuer de vous aider et de vous guider. Reste à voir, maintenant, s’il permet effectivement à des étudiants de réussir leur mémoire. »
Hubert Camus